Pourquoi un logiciel de trésorerie est vital dans le contexte économique, social et géopolitique actuel

Dans un contexte économique marqué par la fin du « quoiqu’il en coûte » du Président Macron et le retour de la récession économique, les entreprises françaises sont confrontées à des défis sans précédent !

SOMMAIRE

Introduction
#1 – La fin du « quoiqu’il en coûte » et le retour de la récession économique
#2 – La crise des prix de l’énergie et la désindustrialisation
#3 – Les incertitudes liées à une crise bancaire et financière et la menace de guerre en Europe
#4 – La baisse des marges et l’affaiblissement des trésoreries
#5 – L’équipement accéléré des entreprises en logiciel de trésorerie et en méthodes d’optimisation
Conclusion

Introduction

La hausse des taux des banques centrales cherchant à éradiquer une inflation de plus en plus galopante, la crise des prix de l’énergie liée à des enjeux écologiques et climatiques, la désindustrialisation amplifiée par l’inflation sur le sol européen, des perspectives plus incertaines de crise bancaire et financière, des risques de guerre aux portes de l’Europe….

Tous ces facteurs ont mis en évidence la nécessité d’adopter des outils de gestion de trésorerie performants et adaptés.

Cet article explique pourquoi un logiciel de trésorerie est devenu indispensable pour les entreprises dans ce contexte.


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#1 – La fin du « quoiqu’il en coûte » et le retour de la récession économique

La fin des mesures de soutien financier mises en place par le gouvernement français sous l’égide du « quoiqu’il en coûte » a rendu plus difficile pour les entreprises de faire face à leurs charges et d’assurer leur survie.

Dès septembre 2022, la Banque de France anticipait un « net ralentissement à partir de l’hiver prochain » et si l’économie française devait se contracter, la récession serait « limitée et temporaire », pendant 2 ou 3 trimestres ».

Si l’économie semble mieux résister que prévu, on ne peut que mettre en évidence la fragilité de nombreuses entreprises, avec une remontée des faillites et des procédures collectives au cours des trois à six derniers mois. Le nombre des faillites est remonté à 41.000 en 2022 et certains prédisent une montée proche des 60.000 (voire pire) ce qui serait très supérieur au niveau d’avant-crise de 2019.

Un retour de la récession économique en France se manifeste par :

  1. Croissance du PIB : un ralentissement de la croissance du produit intérieur brut (PIB) ou une contraction du PIB sur deux trimestres consécutifs signalerait un retour de la récession économique. La prévision pour 2023 est désormais inférieure à 1% selon toute vraissemblance.
  2. Taux de chômage : le taux de chômage apparent semble maîtrisé mais certaines catégories non comptabilisées sont sorties de l’emploi ce qui pourrait indiquer une détérioration de la situation économique et un possible retour de la récession.
  3. Indice de confiance des ménages et des entreprises : une baisse de la confiance des ménages et des entreprises peut être un signe avant-coureur d’une récession économique, car elle peut entraîner une réduction de la consommation et des investissements.
  4. Taux d’intérêt des banques centrales : les importantes hausses actuelles de taux d’intérêt vont freiner la croissance économique en rendant les emprunts et les investissements plus coûteux pour les ménages et les entreprises.
  5. Indice des directeurs d’achat (PMI) : le PMI est un indicateur économique qui mesure l’activité du secteur manufacturier et des services. Une baisse du PMI peut indiquer un ralentissement de l’activité économique et un possible retour de la récession.
  6. Indicateurs du commerce extérieur : un ralentissement du commerce extérieur, notamment des exportations et des importations, peut être un signe de récession économique. La France a réalisé un déficit record en mars 2023 avec 164 milliards d’euros !

#2 – La crise des prix de l’énergie et la désindustrialisation

La hausse des prix de l’énergie a entraîné une augmentation des coûts de production pour les entreprises, réduisant ainsi leurs marges bénéficiaires.

La crise des prix de l’énergie peut avoir un impact significatif sur la trésorerie des entreprises, en particulier pour celles dont l’énergie constitue une part importante des coûts de production.

Voici quelques points clés pour comprendre comment la hausse des prix de l’énergie affecte la trésorerie des entreprises :

  1. Augmentation des coûts de production : lorsque les prix de l’énergie augmentent, les coûts de production pour les entreprises s’accroissent également. Cela peut entraîner une baisse des marges bénéficiaires, ce qui réduit les liquidités disponibles pour le fonctionnement quotidien de l’entreprise. Pour compenser cette hausse des coûts, les entreprises peuvent être amenées à augmenter leurs prix de vente, ce qui peut, à son tour, affecter la demande pour leurs produits ou services.
  2. Impact sur les investissements : la hausse des prix de l’énergie peut également dissuader les entreprises d’investir dans de nouveaux projets ou de procéder à des expansions, car les coûts liés à ces investissements deviennent moins prévisibles. Cela peut entraîner un ralentissement de la croissance de l’entreprise et, par conséquent, une diminution de sa trésorerie.
  3. Difficultés à honorer les engagements financiers : avec des coûts de production plus élevés et des marges réduites, certaines entreprises peuvent rencontrer des difficultés pour honorer leurs engagements financiers, tels que les remboursements d’emprunts ou les paiements de dividendes. Cela peut provoquer des tensions sur leur trésorerie et les inciter à rechercher des financements supplémentaires pour couvrir leurs obligations.
  4. Risques liés à la volatilité des prix de l’énergie : la volatilité des prix de l’énergie peut compliquer la planification financière pour les entreprises. Les fluctuations imprévisibles des coûts de l’énergie rendent difficile l’établissement de budgets précis, ce qui peut entraîner des problèmes de trésorerie si les coûts réels dépassent les prévisions.
  5. Conséquences sur la chaîne d’approvisionnement : la hausse des prix de l’énergie peut également affecter la chaîne d’approvisionnement des entreprises, en augmentant les coûts de transport et de logistique. Cela peut entraîner des retards et des ruptures de stock, ce qui peut perturber les activités de l’entreprise et affecter sa trésorerie.

Face à ces défis, il est essentiel pour les entreprises de mettre en place des stratégies d’optimisation de leur trésorerie afin de minimiser l’impact de la crise des prix de l’énergie. Les logiciels de trésorerie peuvent aider les entreprises à mieux anticiper les fluctuations des prix de l’énergie, à identifier les opportunités d’économies et à ajuster rapidement leur stratégie financière en conséquence.

La désindustrialisation a également affaibli la compétitivité de certaines entreprises françaises, les exposant davantage aux aléas économiques.

La désindustrialisation est un phénomène complexe qui affecte la trésorerie des entreprises de diverses manières. Voici quelques-unes des conséquences de la désindustrialisation sur la trésorerie des entreprises :

  1. Pertes d’emplois et réduction des revenus : la désindustrialisation entraîne souvent des pertes d’emplois dans le secteur manufacturier, ce qui peut réduire les revenus des entreprises concernées. Une diminution des revenus peut entraîner une baisse des liquidités disponibles, ce qui rend la gestion de la trésorerie plus difficile pour les entreprises.
  2. Baisse de la compétitivité : la désindustrialisation peut également entraîner une baisse de la compétitivité des entreprises, notamment en raison de l’augmentation des coûts de production et de la diminution des investissements dans le secteur manufacturier. Cette situation peut conduire à une diminution des parts de marché, ce qui affecte directement la trésorerie des entreprises.
  3. Délocalisation et coûts de restructuration : face à la désindustrialisation, certaines entreprises peuvent décider de délocaliser leurs activités vers des pays où les coûts de production sont plus bas. Cependant, les coûts de restructuration et de délocalisation peuvent peser sur la trésorerie de l’entreprise à court terme.
  4. Difficultés d’adaptation aux nouvelles technologies : la désindustrialisation s’accompagne souvent d’un changement technologique rapide. Les entreprises qui ne parviennent pas à s’adapter à ces nouvelles technologies peuvent rencontrer des difficultés pour maintenir leur compétitivité et, par conséquent, leur trésorerie.
  5. Coûts de reconversion : la désindustrialisation peut également pousser les entreprises à se reconvertir dans d’autres secteurs d’activité, ce qui implique des coûts de formation et de développement de nouvelles compétences. Ces coûts supplémentaires peuvent peser sur la trésorerie des entreprises.
  6. Dépendance à l’égard des importations : la désindustrialisation peut rendre les entreprises plus dépendantes des importations de biens et services, ce qui peut les exposer à des fluctuations de taux de change et à des variations de prix. Ces facteurs peuvent avoir un impact négatif sur la trésorerie des entreprises.

Pour faire face à ces défis, les entreprises doivent adopter des stratégies de gestion de la trésorerie adaptées à leur situation spécifique. Les logiciels de trésorerie peuvent aider les entreprises à anticiper les besoins de liquidités, à identifier les opportunités d’économies et à mettre en place des plans d’action pour optimiser leur trésorerie.

En outre, les entreprises doivent chercher à diversifier leurs sources de revenus et à investir dans des secteurs en croissance pour réduire leur vulnérabilité à la désindustrialisation et préserver leur trésorerie.

#3 – Les incertitudes liées à une crise bancaire et financière et la menace de guerre en Europe

Les risques de crise bancaire et financière (voir les faillites de Silvergate Bank, spécialisée dans les cryptomonnaies, de Silicon Valley Bank (SVB), la “banque de la tech” et, enfin, de Signature Bank, les risques sur Crédit Suisse racheté en catastrophe par UBS, et d’autres à venir…) et les tensions géopolitiques aux portes de l’Europe ont créé un climat d’incertitude pour les entreprises françaises.

Cette situation rend plus difficile la planification financière et la gestion des risques, rendant ainsi les outils de prévision et de suivi de trésorerie indispensables.

Voici quelques points clés pour comprendre comment ces incertitudes affectent la gestion financière des entreprises :

  1. Accès au crédit : lors d’une crise bancaire et financière, les banques sont souvent plus réticentes à accorder des prêts aux entreprises en raison d’un risque de défaut accru. Cela peut rendre l’accès au crédit plus difficile pour les entreprises, ce qui peut nuire à leur trésorerie et à leurs projets d’investissement ou de croissance.
  2. Coûts d’emprunt : les incertitudes liées à la crise bancaire et financière peuvent également entraîner une hausse des taux d’intérêt, ce qui augmente les coûts d’emprunt pour les entreprises. Cela peut réduire les marges bénéficiaires et les liquidités disponibles, ce qui peut compliquer la gestion de la trésorerie.
  3. Volatilité des marchés financiers : les crises bancaires et financières sont souvent accompagnées d’une forte volatilité sur les marchés financiers. Cette volatilité peut affecter la valeur des actifs financiers détenus par les entreprises, tels que les actions ou les obligations, ce qui peut entraîner des pertes de trésorerie et compliquer la planification financière à long terme.
  4. Risque de contrepartie : les crises bancaires et financières augmentent le risque de contrepartie, c’est-à-dire le risque qu’une partie ne respecte pas ses obligations financières envers une autre partie. Cela peut affecter la trésorerie des entreprises si leurs clients ou fournisseurs rencontrent des difficultés financières et ne parviennent pas à honorer leurs engagements.
  5. Baisse de la confiance des investisseurs : une crise bancaire et financière peut également entraîner une baisse de la confiance des investisseurs, ce qui peut réduire la capacité des entreprises à lever des fonds sur les marchés financiers. Cela peut limiter les options de financement pour les entreprises et les contraindre à puiser dans leur trésorerie pour financer leurs activités

Face à ces défis, outre la débancarisation des grandes banques nationales et des placements non conventionnels (métaux précieux, cryptomonnaies,…), les entreprises doivent mettre en place des stratégies de gestion de trésorerie adaptées pour atténuer les effets des incertitudes liées à la crise bancaire et financière.

Les logiciels de trésorerie peuvent aider les entreprises à anticiper les fluctuations de trésorerie, à identifier les risques et les opportunités et à mettre en place des plans d’action pour optimiser leur trésorerie.

Il est également crucial pour les entreprises de diversifier leurs sources de financement, de réduire leur endettement et de renforcer leur structure financière afin de mieux résister aux chocs économiques et financiers.

Par ailleurs, voici quelques-uns des impacts que ces événements peuvent avoir sur les entreprises et leur gestion financière :

  1. Interruption des services bancaires : Lorsqu’une banque fait faillite, elle peut être amenée à suspendre temporairement ou définitivement ses services bancaires, tels que l’accès aux comptes courants, aux prêts et aux lignes de crédit. Cette interruption peut créer des problèmes de trésorerie pour les entreprises qui dépendent de ces services pour leurs opérations quotidiennes.
  2. Gel des avoirs bancaires : En cas de faillite d’une banque, les autorités réglementaires peuvent décider de geler les avoirs des clients, y compris les dépôts des entreprises. Cela peut priver les entreprises d’accès à leur trésorerie et entraver leur capacité à financer leurs opérations.
  3. Perte de confiance des clients et des partenaires commerciaux : La faillite d’une banque peut également nuire à la réputation des entreprises qui en sont clientes. Les clients et les partenaires commerciaux peuvent craindre que l’entreprise ne rencontre des difficultés financières en raison de ses liens avec la banque en faillite, ce qui peut entraîner une diminution des ventes et un resserrement des conditions de crédit.
  4. Difficultés de refinancement : Les entreprises qui dépendent d’une banque en faillite pour le refinancement de leurs dettes peuvent se retrouver en difficulté si elles ne trouvent pas rapidement d’autres sources de financement. Cela peut entraîner des problèmes de trésorerie et même mettre en péril la survie de l’entreprise.
  5. Contagion financière : Les faillites bancaires peuvent provoquer une contagion financière, où la crise se propage à d’autres banques et institutions financières. Cela peut rendre l’accès au crédit plus difficile pour l’ensemble du secteur et aggraver les problèmes de trésorerie pour de nombreuses entreprises.

Pour faire face à ces défis, les entreprises doivent être proactives dans la gestion de leur trésorerie et la surveillance de la situation financière de leurs partenaires bancaires.

L’utilisation de logiciels de prévision et de suivi de trésorerie peut aider les entreprises à identifier les risques et à prendre des mesures pour minimiser leur exposition aux crises bancaires et financières.

Il est également important pour les entreprises de diversifier leurs sources de financement et de maintenir des relations solides avec plusieurs banques et institutions financières, afin de réduire leur dépendance à l’égard d’une seule institution et de renforcer leur résilience face aux chocs financiers.

#4 – La baisse des marges et l’affaiblissement des trésoreries

Les comptes annuels millésime 2022 produits actuellement par les experts-comptables indiquent une baisse des marges des entreprises et un affaiblissement de leurs trésoreries.

Cette situation met en évidence la nécessité pour les entreprises de disposer d’outils leur permettant de gérer efficacement leur trésorerie et de prendre des décisions éclairées pour assurer leur pérennité.

Dans un contexte de crises économiques, bancaires et financières, ainsi que de hausse des prix de l’énergie et de désindustrialisation, les entreprises sont confrontées à de nombreux défis qui peuvent potentiellement entraîner un effondrement de leurs marges et un affaiblissement de leurs trésoreries.

Voici quelques facteurs qui contribuent à cette situation :

  1. Augmentation des coûts de production : Les crises énergétiques et la hausse des prix des matières premières peuvent entraîner une augmentation des coûts de production pour les entreprises. Si elles ne parviennent pas à répercuter ces coûts supplémentaires sur les prix de vente de leurs produits ou services, leurs marges bénéficiaires peuvent se réduire.
  2. Baisse de la demande : Les crises économiques et financières peuvent réduire la demande des consommateurs pour les produits et services des entreprises, ce qui peut entraîner une baisse des revenus et des marges bénéficiaires. De plus, la récession économique peut diminuer les investissements des entreprises, ce qui réduit encore plus leurs revenus.
  3. Pression concurrentielle : L’affaiblissement de l’économie et la désindustrialisation peuvent accroître la pression concurrentielle sur les entreprises. Pour rester compétitives, elles peuvent être contraintes de réduire leurs prix, ce qui peut entraîner une diminution de leurs marges bénéficiaires.
  4. Difficultés d’accès au crédit : Les crises bancaires et financières peuvent limiter l’accès des entreprises au crédit et augmenter les coûts d’emprunt. Cela peut contraindre les entreprises à puiser dans leurs trésoreries pour financer leurs activités, ce qui peut affaiblir leur situation financière.
  5. Risque de défaut de paiement : Dans un contexte économique difficile, les entreprises peuvent être confrontées à un risque accru de défaut de paiement de la part de leurs clients ou fournisseurs. Cela peut entraîner des retards de paiement et des problèmes de trésorerie.

Face à ces défis, il est crucial pour les entreprises de mettre en place des stratégies de gestion financière solides pour préserver leurs marges et leur trésorerie.

L’utilisation d’un logiciel de trésorerie peut aider les entreprises à anticiper les fluctuations de trésorerie, à surveiller leurs marges et à prendre des mesures pour optimiser leur gestion financière.

De plus, les entreprises doivent chercher à diversifier leurs sources de revenus, réduire leurs coûts de production et investir dans l’innovation et l’efficacité pour renforcer leur compétitivité et préserver leurs marges bénéficiaires.

Ecran du logiciel de trésorerie TurboPilot

#5 – L’équipement accéléré des entreprises en logiciel de trésorerie et en méthodes d’optimisation

Face à ces défis, les entreprises françaises ont tout intérêt à s’équiper rapidement d’un logiciel de trésorerie pour anticiper les fluctuations de trésorerie et optimiser leur gestion financière.

Ces outils permettent de suivre en temps réel les entrées et sorties de trésorerie, d’anticiper les besoins de financement, d’identifier les sources potentielles d’économies et de mettre en place des stratégies d’optimisation de la trésorerie.

Un logiciel de trésorerie peut également aider les entreprises à détecter les signaux d’alerte en matière de trésorerie, tels que les retards de paiement, les impayés ou les dépassements de crédit, et à prendre des mesures correctives rapidement.

En outre, il facilite la communication et la collaboration entre les différents services de l’entreprise, tels que la comptabilité, la finance et la direction, permettant ainsi une meilleure coordination et une prise de décision plus efficace.

Dans un contexte économique incertain, marqué par la fin du « quoiqu’il en coûte » et le retour de la récession, il est crucial pour les entreprises françaises de disposer d’outils adaptés pour gérer leur trésorerie et anticiper les éventuelles difficultés financières.

Un logiciel de trésorerie représente donc une solution incontournable pour assurer la pérennité et la compétitivité d’une entreprise dans un environnement économique de plus en plus complexe et instable.

Deux situations opposées peuvent alors profiter de notre logique d’accélération de la vélocité du cash :

  • les entreprises en difficulté
  • les entreprises en forte croissance (type start-up).

Conclusion

En somme, un logiciel de trésorerie est devenu indispensable pour les entreprises françaises face aux défis économiques actuels et notamment pour les TPE/PME de certains secteurs d’activité très touchés par l’explosion des prix de l’énergie.

La conjugaison de la fin du « quoiqu’il en coûte », du retour de la récession économique, de la hausse des prix de l’énergie, de la désindustrialisation, des incertitudes liées à la crise bancaire et financière et de la menace de guerre en Europe, rend ces outils essentiels pour assurer la survie et le développement des entreprises.

L’équipement accéléré des entreprises en logiciel de trésorerie et en méthodes d’optimisation de celle-ci est donc une nécessité pour faire face aux enjeux économiques et financiers de notre époque.

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